Good afternoon Nozomi, thanks for your feedback… and I do understand your concern over the ICT approach overall. I have to say that as most inputs in the arena of sustainable development, it does take time before one realizes that the tool itself must be brought to a broader audience, more gender friendly than it has ever been at inception… ICT is no different on that note. And may be at policy level, there is a deeper issue that needs to be addressed as such.
Nozomi, I do agree with you that face to face learning sessions albeit with culturally competent teams make always a great difference. But same is true as well that information properly identified and conveyed, can itself help women better understand their environment (digitized maps, georeferencing…), challenges and opportunities along with entrepreneurial skills, threats, weaknesses and alike, even with that level of detail, it’s important to instill such learning processes and opportunities with appropriate learning tools similar to the required cultural competency hitherto mentioned… Such basics are all-time key in women empowerment initiatives and have proven to work worldwide… African context could build and expand on such groundbreaking achievements as listed in biographies below in any of the links within:
Conclusive therefore to mention that ICT projects have been an object of discrimination when you compare group usage to outcome near a larger group segment, gender wise over the last two decades. So far as a tool, widespread uptake of web-based ICTs is in itself an indication that society and technology have become “interdependent and are evolving in a dual process of cultural and social appropriation” (de Bruijn, Nyamnjoh, Brinkman 2009:12). Equally speaking, empowerment, regardless of gender, draws from social and communicative needs that web-enabled ICTs simply allow, as tools to overcome. Actual status quos in Africa, per say accessibility, and experiences of distance posed by group immobility and/or marginality make use and adoption of ICTs a Must in our respective environments… Many projects from UNDP, USAID to World Bank praised the impact of such ICT use to empowering the most instrumental swath of our agricultural productivity metrics in Sub Saharan Africa to date.
Specific to women and ICT, from the above references along those links, web-enabled ICT use and modalities of interactions enable women to enhance their social status via access to key information data. In specific market environments, Market Information Systems have proven to being a means for negotiating and positioning product delivery with ability to extend such women’s social worlds via web-enabled ICTs as social tools from Kenya to Zambia, thus defying the odds of time, space, location and territory. To the expected upscaling of agricultural innovation platforms within WAAPP-PPAAO Countries available across the region, ICT use and adoption reamain a unique opportunity, offering the potential for better exchanges, outreach and communication than sole face to face (with limited manpower) would only be able to achieve by itself..
From innovative strategies to policy action, one can shift the burden...
La valeur ajoutée de nos produits agricoles en Afrique présuppose l’adoption de mécanismes favorables à l’intégration genre.
Lorsque vous considérez ces éléments ci-dessous:
Tout ce qui précède, et chaque aspect avec ses répercussions spécifiques, a une incidence sur la productivité réelle et l'amélioration de la chaîne de valeur agricole, ce qui limite le résultat final du marché des petits exploitants au stricte minimum de leur potentiel de production ... Ceci, pas plus, ni moins, est ce dont la Banque doit faire face et aborder, étant la seule institution financière endogène avec tout son potentiel et effet d’entrainement qui lui est connu, pour réévaluer le potentiel de développement dans toute la région, en mettant l'accent sur un cadre de politique favorable au genre.
En l'absence d'une revendication appropriée et attendue des organisations institutionnelles endogènes, régionales, malheureusement, nous assistons à des intrusions dévastatrices causées par l'investissement direct étranger dans des questions politiques affectant notre capacité à mener des initiatives favorables au commerce intra-africain.
De toute évidence, l'intégration commerciale/economique régionale a été depuis longtemps un objectif stratégique en Afrique, malgré les succès limités des sollutions apportees a la questions des tarifs de base dans la région, les marchés intérieurs africains restent dans l’essentiel, très fragmentés. Afin que la BAD capte le plein potentiel de ses pays partenaires, il existe une gamme d'obstacles non tarifaires et réglementaires qui doivent être abordés, qui augmentent en sus, les coûts et facteurs de transactions commerciales et limitent ainsi la circulation des biens, des services, des personnes et des capitaux à travers nos frontières en Afrique. La BAD, par exemple, pourrait être un atout majeur pour les pays africains aptes à servir, diriger et tirer parti des APE déjà négociés et imposés par l'UE ... alors que des accords unilatéraux similaires se déroulent dans toute la région sur une base périodique, de tels procédés contribuent à perturber notre capacité de commerce et d'échange intra-africains tout en ouvrant des canaux d'accès facile aux marchés européens avec des conséquences dévastatrices pour la sécurité alimentaire locale en général.
Le mois dernier, à Berlin, le lundi 12 juin 2017, la chancelière Merkel a invité les chefs d'État et de gouvernement des pays africains partenaires à participer à la Conférence internationale du Partenariat pour l'Afrique du G20. Combien important et culturellement appropriee serait l’invitation, si pareil appel au partenariat était organisée par une organisation africaine majeure sur une base plus fréquente ...
L'igname nigériane, bien que bien apprécié de la région, est aujourd’hui soumis à une première phase d'exportation initiale pour au moins 72 tonnes d'igname au Royaume-Uni. L'Organisation des Alimentaire Mondiale (FAO) a estimé que le Nigeria représente 61% de la production totale d'igname dans le monde, mais le tubercule n'a pas été exporté jusqu'à récemment... Le Ghana a enregistré des gains de 4 milliards de dollars (3 milliards de livres sterling) de ses exportations de yam dans les trois à quatre prochains années. Comme beaucoup d'autres pays africains, le Sénégal avec un choix difficile quant à l’opportunité ou pas de se fier à la prise en charge des institutions financières endogènes, ne peut qu’être perplexe, dans l’expectative: la Chine qui injecte 60 milliards de dollars dans le développement en Afrique ferait dire à Alassane Samba, ancien Chef de L'Institut de recherche océanique du Sénégal: «Il est difficile de dire non à la Chine quand ils construisent vos routes».
Assez d’un type de récit pour augurer d’un intérêt renouvelé de la BAD pour capitaliser sur un sentiment de devoir patriotique, pour finalement consacrer du temps et de l'argent à bâtir sur les agrégats de données déjà existants, de modèles fondés sur la recherche concluante au sujet de la contribution de nos femmes AgroEntrepreneurs et d'autres acteurs de la chaîne de valeur en Afrique, afin de capitaliser sur les avantages liés aux opportunités de financement local, un moyen de retour sur l’investissement à long terme pour le développement endogène en Afrique, pour l'Afrique, et PAS SEULEMENT bénéficier à l'extraversion des retombées financières à des intérêts financiers étrangers déjà propriétaires terriens sur notre propre arrière-cour.
Pour nos femmes dans la transformation de l'agriculture africaine, des choix politiques appropriés doivent être identifiés et correctement appliqués avec une attention particulière à une politique de communication idoine, en rapport avec nos taux d'analphabétisme caractéristiques de la réalité du terrain...
Indeed Nozomi, this mentorship issue remains a critical point in ensuring there is proper transfer of skills and indigenous knowledge preservation and dissemination to latest generation known for their propensity to rely on new IT devices and gadgets…
Whilst such concern must be taken into account, one may broadly capture the potential of those role models across and through use of Information Communication Technologies (ICTs), demonstrated to effectively connect farmers to the much needed extension and advisory support as well as access to market related potential and information
Due to prevalence of illiteracy near most smallholders in Africa, with respect to emerging trends in new ICTs usage and adaptability, by same token we can expect to improve farm level decision making, maximize use of farm resources while improving the quality and safety of farm produce and improve financial, and logistical services for farmers to market their produce.
The full range of topics involved and discussed herein is a testimony of the need for an integrated approach all leading to increased availability and accessibility of data through ICTs while the AfDB, in sync with national agricultural systems, helps achieve effective ICTs use for even more benefits (scoping, mapping, planning, distribution, oversight…) to smallholder farmers and rural communities through more precise agriculture and market chain management of their produce.
Last but not least, as a strong advocate for E-Agriculture, open data for agriculture has proven to being beneficial to farmers in Mali with use of E-voucher, allowing hundred thousands of farmers to receive agricultural inputs subsidies from their SMS android phone messaging with precise amounts and timely availability… To date the Government of Mali is looking into expanding the widespread use across its extension services, saving billions of CFA. Sierra Leone, Gambia and Guinea to name a few, interested to replicate the mechanism. In the medium/long term, aggregate data along with available weather data can provide farmers with early warnings against adverse farming conditions while allowing for precautions which include advice and warning for crop protection and also where applicable, help monitoring irrigation and planning for adapting to overall adverse effects of climate change.
More than a wish, it's a Must...
Submitted by Demba N on Wed, 05/07/2017 - 20:29 Permalink
Agree Monica, and better yet, it's a MUST if our current agricultural productivity rates across the regions are to be maintained and enhanced... The stakes are higher than that... Our economies can only build resilience through proper and sound agricultural investment portfolios...
Since independence to date Sub Saharan Africa has witnessed a critical data infrastructure evidencing, the prevalence of women at every corner of our economic development models, therefore it makes sense to award you the priority in the upscaling process ahead!