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Soumis par Raoul Sessou le mar, 11/07/2017 - 19:51 Permalien
Pour une phase pilote,
Il ne s'agira pas d'une question du genre mais plutôt l'impact réel des femmes dans l'implication agricole et transformation.
Soumis par Raoul Sessou le ven, 07/07/2017 - 20:48 Permalien
La nature démontre que les femmes possèdent l'art de la transformation
alimentaire. Leur implication dans l'agro alimentaire serait plus
bénéfique. La femme est battante, mère donc avec un coeur plus ouvert
et affectif. Son revenu issu de ce secteur servirait au mieux au
ménage.
Aussi le secteur agro alimentaire est d'avenir en Afrique (en plein essort).
Soumis par Raoul Sessou le dim, 02/07/2017 - 23:16 Permalien
La nature même démontre que l'existance de la vie passe par les femmes. Nous voyons aussi le rôle social qu'elles assument chaque jour.
Tout est une question de volonté en tout plan.
Si ces questionnements sont durement considérés dans les actions et poliques en faveurs des femmes dans l'agro-industrie et les chaines de valeur, les résultats seront plus positifs.
Soumis par Raoul Sessou le dim, 02/07/2017 - 05:45 Permalien
Bonjour à tous,
1-En ce qui concerne la question de l'accès à la terre des femmes, il fait au niveau national, inviter les vrais acteurs à savoir, les chefs religieux, de cantons, de villages etc... à débattre eux même Sur cette problématique à favoriser les femmes à l'accès aux terres. Il faudra qu'à travers des ateliers et forums, ils puissent comprendre le rôle primordiale des femmes dans le défi agricole en Afrique. Une fois cette étape affranchie, ces élus locaux plus proche de leurs réalités sociales aux travers de forums, pourront eux même définir des politiques pour favoriser et protéger les femmes à l'accès aux terres.
2-Pour ce qui concerne l'accès aux technologies et la garantie des intérêts des femmes: Sans une stratégie et politique agricole bien défini, il sera très difficile de réussir le pari. Il est montré que, les femmes en association, réussissent mieux à augmenter la production, le revenu et arrivent plus facilement à avoir accès aux lignes de crédit et technologies appropriés. Pour ma part je pense que chaque pays doit définir une politique agricole par région. Par exemple le manioc, la tomate et le riz à savalou. Ce qui permettra à tous les acteurs principalement féminin dans la chaîne de valeur et production de mieux défendre leurs intérêts. Les partenaires privés pourront mieux définir des politiques par rapport a ces cibles de production, le gouvernement et les partenaires financiers sauront dans quelles mesures ils pourront orienter leur aide plus efficacement. Il est plus facile de maîtriser un virus spécifique dans une région donné plutôt que dans plusieurs. Dans une région où l'on produit de la mangue ou banane, l'on pourra implanter une petite usine de transformation (séchage, etc).
Si mon approche porte sa pertinence je pourrai mieux la développer prochainement
Merci
Le défi sera relevé
Raoul Sessou
YPARD
00225 85 96 89 86
Des financements moins oppressifs
Soumis par Raoul Sessou le dim, 16/07/2017 - 20:07 Permalien
Le type de financement à moyen et long terme serait idéal.
Cela permettrait aux femmes de ne pas êtres étouffées par le remboursement
et au même moment développer ou innover l'activité.
Trop de pression autour d'un prêt, tue le prêt. Peut importe la source du financement pourvu qu'elle ne donne pas trop de pression.
Des financements de 3 à 5 ans seraient l'idéal dans ce domaine.